Biographie

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Autodidacte, ou presque, j’ai commencé à peindre à 10 ans (1961). L’instituteur souhaitait que l’on peigne un chêne sur le cahier de dessin. Pas un arbre, non, un chêne !

Avec quelques règles d’observation, de composition, d’assemblage de couleurs… ma mère, dessinatrice de mode, apaisa l’angoisse générée par cet exercice imposé. Après ce petit traumatisme, la passion de la peinture ne m’a plus quitté.

Issu d’une famille d’ingénieurs et engagé dans des études longues, l’aquarelle, technique compatible avec les nombreux déplacements de la vie professionnelle, notamment à l’étranger. Je suis venu à l’huile depuis le début des années 2000, après un passage rapide à l’acrylique.

Élève de l’Atelier Jérôme Delépine à Pontoise, depuis 2019, stagiaire de l’atelier Re-Naissance à Paris, je participe à quelques expositions locales (Printemps de Neuville sur Oise, Palette en Franconville,…) et quelques manifestations culturelles organisées par les collectivités locales ou les entreprises.

Références professionnelles

  • APE: 984 143 859 00010
  • MDA: 46 746
  • ⁠Membre de la Société des Artistes du Hurepoix
  • ⁠Membre agréé de l’Académie des Arts et Sciences de la Mer

Mon travail

Nantais d’origine, attiré par les choses de la mer, je suis grand admirateur de Peintres Officiels de la Marine (POM) tels Marin Marie, Albert Brenet, Roger Chapelet, Étienne Blandin, Stéphane Ruais, Christoff Debusschère et d’autres.

J’aime également les sujets du quotidien, paysages, portraits, natures mortes, que l’on ne regarde plus mais qu’une lueur éclaire parfois, juste un court instant, pour leur donner une âme et les sortir de la banalité. Je me refuse au spectaculaire, préférant l’indécision et l’ambiguïté de « l’instant d’avant », suggérant au spectateur une suite plausible avec quelques éléments discrets laissés à son interprétation.

Je travaille beaucoup au glacis flamand qui porte les lueurs diffuses comme les rais de lumière puissants où les scintillements légers de l’eau ou toutes les nuances de l’air. J’utilise parfois le couteau sur certaines zones de la toile, soit pour des empâtements, soit des traits vigoureux, pour modifier la perception et orienter ainsi l’interprétation.